Colloques internationaux : Savoirs créatifs, savoirs migrateurs
lundi, 2 août 2021
Cette page est consacrée aux dialogues internationaux de recherche et d’échanges de savoirs, organisés par l’Institut Charles Cros en partenariat avec d’autres institutions et associations de recherche et de développement durable.
“Je connais tous les lieux où la colombe loge,
Et le plus naturel est la tête de l’Homme” (Paul Éluard)
Le logo de l’oiseau et du navire, lancé dans les airs et les eaux depuis 2011, date des premiers colloques internationaux. Ce logo :
- accompagne le séminaire « Éthiques & Mythes de la Création » initié par le programme « Éthiques de la Création » autour d’un dispositif transversal, attentif aux métamorphoses des savoirs.
- et ponctue la connaissance mutuelle des rencontres internationales (« Savoirs créatifs, savoirs migrateurs » ), auxquelles l’Institut Charles Cros est associé.
- AGENDA International :
—– 21 & 22 mai 2018, Colloque de Catane en Sicile organisé par la revue M@gm@ sur le thème de la « Mythanalyse de l’Insularité » à l’initiative et sous la direction d’Octavio Valastro, en la présence d’Hervé Fischer, président de la Société internationale de Mythanalyse.
Pour l’Institut Charles Cros, interventions orales et écrites de Sylvie Dallet et Lorenzo Soccavo.
Parmi les intervenants, plusieurs ont participé précédemment aux séminaires « Éthiques & Mythes de la Création« .
Parmi lesquels :
Sylvie Dallet, Luc Delisse, Hervé Fischer, Christian Gatard, Yannick Lebtahi, Ana Maria Pecana, Lorenzo Soccavo, Octavio Valastro
Articles à paraitre en 2019 revue M@gm@.
Colloque interdisciplinaire de Sétif (université Ferhat Abbas, Université de Sétif 1) :
« La créativité des territoires, enjeu des formations durables »
Deux documents sont désormais à la consultation :
– Un article d’un journaliste scientifique algérien
– Le rapport de synthèse, rédigé en temps réel par M. Belounnas.
Le Site en ligne Sudhorizons.dz publie dès le 7 novembre ce tweet du journaliste Azzedine Tiouri :
« Un colloque international sous le thème «La créativité des territoires, enjeu des formations durables ? » a été organisé dimanche et lundi à l’université de Sétif.
Il a pour but « d’apporter une pierre à l’édifice de l’ouverture de l’université sur le monde socio- économique, conformément à la politique du gouvernement. Cet intitulé a été choisi pour ne pas se limiter qu’à l’environnement comme enjeu de formation durable. Il faut être créatif pour créer des formations durables. Nous ne pouvons pas nous limiter à des formations généralistes, comme nous le faisions jusqu’à présent », a indiqué le recteur de l’université, le Pr. Abdelmadjid Djenane.
Pour lui, il s’agit «d’analyser le potentiel du territoire en matière de ressources humaines et économique, pour faire des formations qui vont le rendre développé économiquement et ne plus se limiter à la rente pétrolière, nous devons réfléchir et revoir la manière d’enseigner. Nous devons aussi revoir comment quantifier réellement l’ouverture de l’université sur le monde socio- économique pour prendre en considération ce qu’il y a dans l’environnement immédiat ».
Pour Sylvie Dallet, professeur des universités, directrice de recherche (CHCSC/Paris Saclay) et présidente de l’Institut Charles Cros de Paris (France), ce colloque est unique en son genre. «Nous avons travaillé neuf mois, avec l’idée qu’il devait être utile à la fois à l’université, à la communauté de chercheurs, que nous sommes et à l’action civile et économique du territoire de Sétif comme une sorte d’affection commune ». « Cela permettra de comprendre que nous sommes complémentaires, que nous avons des ressources, officielles mais le plus souvent occultées », a-t-elle ajouté. «Il y a un grand gâchis, parce que les personnes sont cantonnées dans leur spécialités , comme si elles avaient des fonctions liées uniquement à des machines, alors qu’elles ont une capacité à réfléchir à l’organisation générale des relations, relations à l’intérieur des entreprises, dans la relation paysanne ou de l’environnement et pour améliorer
les relations à l’intérieur de l’université, de l’intuition et du savoir ».
Rapport de synthèse rédigé par Mohamed Belounnas (U. Sétif 1) et lu en clôture du colloque :
« Une rencontre de réflexion scientifique sous le signe de la diversité :
Si l’organisation scientifique du colloque avait fait la part belle à la multiplicité des idées, des approches, des expériences et des témoignages, l’ouverture du colloque a mis en exergue l’expression de cette diversité d’emblée consacrée.
Au-delà du cadre protocolaire, la présence des institutions partenaires dans l’organisation de cette manifestation scientifique a été confortée par celle des principaux acteurs du territoire : Les plus Hautes Autorités Locales en la personne de Monsieur Le Wali de la Wilaya de Sétif, de Sénateurs et Représentants de l’Administration Locale, Le Représentant de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique au titre de Ministère de tutelle en sus de Monsieur le Recteur de l’Université de Sétif, Monsieur Le Président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), la Chambre de Commerce et d’Industrie et autres acteurs de la société locale.
A différentes échelles de son organisation et son déroulement, la richesse du colloque tient sans doute et davantage à la variété de ses acteurs :
- Un partenariat triangulaire et une communauté de chercheurs relevant de l’international (Algérie, Tunisie, Liban, France, Allemagne)
- Des horizons disciplinaires variés : Arts et littérature, philosophie, sociologie, architecture, médecine, géographie, économie, gestion du risque, gouvernance, pédagogie etc.) ;
- Des acteurs socio-économiques pluriels : Institutions Publiques (Université et Directions sectorielles décentralisées) et Secteurs Sociaux (entreprises privées et autres agents locaux).
Par ces faits, la rencontre constitue une initiative exceptionnelle et unique et vérifie largement le principe de la pluridisciplinarité et celui de la complémentarité comme facilitateurs et amorces des processus de créativité.
- Une même problématique sur des points de départ distincts :
La problématique proposée a rencontré un bel écho au sein de la communauté des chercheurs et porteurs d’expériences, mais les questions de base ont été diversement appréhendées par les communicants et pendant les débats.
Ceux-ci nous donnent à entendre plusieurs figures :
- Comprendre les séquences juxtaposées comme un indice de la gestation créative, celle des territoires et plus globalement celle des institutions et de la population civile ;
- L’exigence de créativité est inscrite en stade supérieur d’un processus de développement durable des territoires ;
- Le phénomène de créativité s’exprime par des formes associées de fonctionnement et de gouvernance.
- La formation a ses pratiques créatives face aux dispositifs et procédés classiques.
- Les grands axes des discussions scientifiques menées :
Ceux-ci peuvent être mesurés en plusieurs catégories que nous qualifions schématiquement de grandes séquences.
- Séquence « territoire » :
Cet aspect a été abordé dès l’ouverture du colloque puis plus encore durant la matinée du deuxième jour. Les éléments d’appui des différents communicants portaient sur :
- L’ancrage des institutions du savoir à leur territoire (l’expérience de l’Université Ferhat Abbas) ;
- Les phénomènes de clusters ou de métropolisation respectivement à travers les cas de Sidi-Abdallah et de la ville de Sétif ;
- Un cadrage général de la « passion du local » mis en perspective autour de la question des effets de « seuil » comme pour signifier l’absence de fatalité à l’innovation.
De ce fait, tous les territoires peuvent être des lieux de créativité pour peu que les instituions publiques dans leur accompagnement du processus de développement, laissent suffisamment de marges aux innovateurs et à la passion.
- Séquence « interdisciplinarité» :
En soi, le colloque a constitué en grandeur nature, un exercice réussi d’interdisciplinarité : aucune discipline n’a ici prétendu à la prééminence concernant des notions clés en ce qui concerne la créativité et l’innovation. Point d’antagonismes, mais des différences d’échelles qui peuvent se compléter et construire d’autres expériences communes.
Cependant, il se constate que les arts et la culture ont le plus la main tendue aux autres domaines scientifiques et que les aspects comportementaux, psychologiques et sociologiques peuvent en constituer de véritables passerelles.
- Séquence « Responsabilité publique et liberté citoyenne» :
La question de la responsabilité et de l’éthique a été régulièrement interrogée par les communicants : celle-ci met au premier plan le rôle de l’institution publique qui est appelée à accompagner les processus d’innovation et de créativité.
- Séquence « Pratiques pédagogiques» :
Outre le cas particulier des IUT qui intègrent l’art et autres disciplines jusqu’ici étrangères à leur formation, diverses communications se sont intéressées de manière directe à la pédagogie.
Un premier principe, largement partagé, questionne la façon de concevoir nos programmes d’enseignement et de formation, qui pour le moment vont assez peu vers les besoins des territoires et des hommes et des femmes qui les façonnent et y vivent.
Un second principe consiste à introduire des expériences artistiques dans les approches et méthodes de formation et ce dans des domaines où ils peuvent complémenter l’expression écrite.
Un troisième élément considère l’évolution de l’étudiant et de l‘apprenant dans sa relation aux médias : les technologies de la communication (TIC, techniques technologies, MOOC adaptés etc.) bouleversent fondamentalement les ressources traditionnelles sans les remplacer.
- Quelques éléments de convergence :
Les expériences, éclairages et témoignages de ce colloque confirment le lien nécessaire entre les missions sociales des institutions du savoir et leur ancrage territorial. Cet ancrage ne peut être définitif ni statique mais évolutif : pour chaque champs du savoir nous devons évaluer et percevoir, autant que faire ce peut, un prolongement spatial qui traduise les besoins d’un développement durable des territoires.
Au-delà de la problématique initiale des débats engagés et des nouveaux questionnements qui en surgissent, je choisis de mettre en avant les éléments suivants :
- le besoin d’analyse des aspects comportementaux et plus généralement des conditions d’épanouissement de l’Etre humain dans son environnement paysager et social ;
- la nécessité d’inscrire lors de la de prise de décision le caractère pluridisciplinaire des phénomènes socio-économiques relatifs aux questions de développement.
- le souhait de décloisonner des disciplines qui se sont progressivement fermées aux autres champs du vécu humain ;
- l’accompagnement des projets pluriels dans une grande liberté d’appréciation et de mesures qualitatives. Le soutien d’une société émergente algérienne doit admettre des formes complexes de cette émergence.
Pour clore ce modeste papier, qui a été écrit en temps réel et donc dans les conditions difficiles de la contrainte créative, nous ne pouvons pas restituer la richesse scientifique du triptyque : Créativité – institutions du savoir – territoire.
Nous nous permettons donc de paraphraser l’un des derniers communicants de cette journée, qui disait :
Le meilleur apprentissage consiste à restituer les éléments du territoire… »
Fait par : Mohamed BELOUNNAS, Rapporteur du Colloque, 6 novembre 2017
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– les 23-24 avril 2015, le Colloque international et francophone de Montréal a réuni des chercheurs et des écrivains, canadiens, belges et français autour du thème :
« Puissances symboliques et fabulations mythiques dans les imaginaires sociaux (Mythanalyse et anthropométrique) »
Cette rencontre internationale organisée par Hervé Fischer et Pierre Ouellet était soutenue par la Chaire de recherche du Canada en esthétique et poétique de l’Université du Québec à Montréal Le groupe en recherche-création Puissance des signes (FQRSC) Le CÉLAT (Centre interuniversitaire d’études en lettres, arts et traditions) et la Société internationale de Mythanalyse (partenaire de l’Institut Charles Cros). Les interventions sont consultable sur You Tube (celle de Sylvie Dallet avec le titre « Charlie Hebdo et l’âme française » : https://www.youtube.com/watch?v=wlcCJRdie9c.
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Savoirs créatifs, savoirs Migrateurs, » rétrospective des 7 colloques fondateurs (2012 et 2013).
Ma vie est un arbre
Fortement uni à la terre
Tenu par des racines immémoriales
De résister à la tempête,
de remplir ma place.
Mais là-haut,
dans les branches de mon arbre verdoyant,
chante un oiseau sauvage
Les ailes de mon oiseau ne sont point esclaves du vent :
Ce n’est pas un nid terrestre qu’il a bati !
Karle Wilson Baker
Un séminaire nomade, international et transdisciplinaire, issu du programme de recherche Éthiques de la Création (partenaires : Institut Charles Cros, label Maison des Sciences de l’Homme Paris-Nord, projet soutenu par le laboratoire de recherche CHCSC- Université de Versailles-Saint Quentin) et multi -partenariats (IESAV-Université Saint-Joseph du Liban, Institut Atlantique d’aménagement des Territoires – Poitou Charentes, Harmattan, Musée Histoire Vivante- Montreuil…) .
UN PROJET COLLECTIF & INTERDISCIPLINAIRE de «CRÉATION – RECHERCHE», impulsé par Sylvie Dallet.
Savoirs créatifs, savoirs migrateurs (SACRESAMI) est relié au programme de recherche international « Éthiques de la Création » (2008-2017) dont les problématiques interdisciplinaires ont été reprises par l’Année européenne de la créativité́ et de l’innovation (2009). Il enrichit les partenariats de socle par des accords avec des structures institutionnelles et associatives nouvelles.
Cette nouvelle proposition de « création- recherche », collective et transversale, fait évoluer deux dispositifs exploratoires :
– le séminaire Éthiques & Mythes de la Création (labellisé Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord, sous la direction de Sylvie Dallet et Année Européenne de la créativité et de l’Innovation en 2009)
– la plate-forme nationale et nomade d’expertise créative sur les territoires, « Créativités & Territoires » (Co-animation S. Dallet & Jacky Denieul depuis 2008) et la plate-forme « Espaces de l’innovation » développée par la Fondation des Territoires de Demain (André Loechel & Laura Garcia Vitoria), suite à la création du « Réseau français des Living Labs et espaces de l’Innovation » réseau RELAIS, Conseil Économique, Social & Environnemental (juillet 2011).
Le projet « Savoirs créatifs, savoirs migrateurs », fédère de façon transversale des Journées d’Études avec des rencontres artistiques sur les nouveaux savoirs contemporains, issus des migrations culturelles (vivantes, écrites, artistiques, numériques ou analogiques). Ce projet complexe et nomade, sera articulé sur sept sites (Ile-de-France, province, international) par sept thématiques conçues en multi-partenariat, avec une ligne éditoriale interdisciplinaire qui abordera la mutation des savoirs par le double questionnement de l’éthique et de la créativité́.
Notre problématique commune conjugue les arts et les sciences sur des questionnements qui croisent les demandes de la société civile.
Les simulacres issus de l’audiovisuel et des offres de l’internet ont changé nos regards et notre perception du monde global puis local : nous observons des savoirs qui se démultiplient et se déplient hors des disciplines enseignées (arts, sciences de l’information, histoire, philosophie…), dans des relations « d’apprenance » fluides qui conjuguent le son et l’image, l’écrit et l’oral. Nous sommes attentifs aux savoirs de socle qui se métamorphosent au gré des simulacres et de nos crises de société́.
Ces savoirs charnières, qui tissent des liens constants et concrets entre nos patrimoines, nos libertés, nos responsabilités et nos environnements correspondent à la fois à des matières – ressources et fondent au présent, nos ultimes sources de richesses. Ces savoirs qui modifient nos expertises traditionnelles, qui semblent parfois menacer les enseignements de spécialité, sont donc des savoirs de carrefours, aux potentialités multiples. Ils sont susceptibles d’ouvrir la voie, s’ils sont bien évalués et mis en perspective, à des sociétés nouvelles. Plus encore, notre réflexion s’attache à des « lieux de savoirs » en perpétuelle évolution sensible, traducteurs du vivant des formes et des idées. Cette réflexion porte également une attention particulière avec le lien secret et concret de l’être humain entretient avec ses handicaps et ses limites.
Cette caravane des « Savoirs migrateurs » est conçue collectivement pour irriguer les réflexions sur les mutations des savoirs autour de sept thèmes organises sur sept lieux symboliques. Ces espaces culturels de travail doivent être conçus comme autant de passerelles territoriales, puis européennes et de la francophonie. Ce dispositif original associe des chercheurs avec des artistes, des collectivités territoriales ou des institutions de la société civile.
Au travers cette démarche ouverte qui associe recherche & création de sens, l’originalité du projet s’exprime sur une réflexion de « conception » collective, d’organisation, de récit et de mythe, dans des liens subtils entre Orient et Occident. Le dialogue des compétences scientifiques & de la production artistique doit se nouer sur des dispositifs diversifiés (séminaire, concertation nomade, espaces d’innovation d’exposition et de création sur site). Cette diversité est la garantie de l’affinement sensible du programme et de son écoute auprès des acteurs des territoires.
Chaque session migratoire aura sa couleur et son expression propre, au gré́ des sites qui la valorise. Le logo de « Savoirs créatifs, savoirs migrateurs » deviendra le signe des évènements créatifs associés à chaque rencontre. Nous souhaitons confronter nos réflexions à des expériences artistiques contemporaines, riches de sens et de beauté́ partagées.
De mai 2012 à décembre 2013, le programme de recherche met à l’oeuvre sept Colloques et Journées d’Études (Ile-de-France, province, International) dont les contacts sont préparés et dont les résultats seront mutualisés au travers des partenaires culturels et des équipes scientifiques associées. Ces sept colloques préfigurent les partenariats et les colloques des années suivantes :
• 4 mai 2012
Saint-Cloud :
(Université Paris Ouest – Pôle Métiers du Livre – Médiadix)
« Bibliothèques et transmissions des savoirs aujourd’hui : pour une éthique des savoirs créatifs? »
Coréalisation Médiadix et équipe de recherche Sylvie Ducas du CHCSC. Article de synthèse « Bibliothèques et transmissions des savoirs aujourd’hui : pour une éthique des savoirs créatifs?« éditée par Sylvie Dallet in Paroles de livres ouvrage dirigé par Sylvie Ducas, Les Acteurs du Livre, 2015.
• 22 juin 2012
La Seine à Andresy :
« Arts, Natures & Patrimoines : les horizons de la mémoire »
Cette manifestation (maison Laurentine/municipalité d’Andresy) est reliée à l’exposition d’art contemporain sur l’ïle Nancy d’Andrésy (curateur Pierre Bongiovanni).
• 11 octobre 2012
Institut Mutualiste Montsouris à Paris :
« Handicaps créateurs »
Organisation partenariale le Centre la Gabrielle (Seine & Marne, direction Bernadette Grosyeux) et Mutualité de la Fonction publique Action Santé Sociale : projet relié à des exposition Eg’ Art et performances, Paris. Colloque édité et téléchargeable (www.centredelagabrielle.fr/spip.php?article223).
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• 12 novembre 2012
Université de Paris V Descartes:
« Éthiques du goût »
Partenariat CNRS Paris, codirection Zoï Kapoula, Eric Delassus. Colloque édité.
• 6 et 7 décembre 2012
L’Institut d’Études scéniques et Audiovisuelles à Beyrouth
(partenariat IESAV, Université Saint-Joseph du Liban, direction Élie Yazbek) :
« Savoirs de frontières »
Projet relié au festival de création audiovisuelle internationale étudiante IESAV 11 – 13 décembre 2012, Beyrouth. Colloque édité.
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• 12 & 13 avril 2013
Tunis (Université de La Manouba), Codirection du projet Ikbal Zalila : «Ressources de la créativité »
Partenariat : le laboratoire CRTF de l’Univrsité Cergy Pontoise et Institut Français. Colloque édité.
• 7 novembre 2013
Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord
« Métamorphoses des lieux et territoires de demain »
Ile de France/ Une région rurale pourrait être associée à l’expérience. Synthèse consultable sur le site de l’Institut Charles Cros.