La conscience des handicaps invalidants suscite le plus souvent des combats et, plus avant, des métamorphoses. Anne-Lyse Chabert l’écrit en conclusion de son premier ouvrage[1] qui, édité à l’orée de l’année 2017, synthétise sa remarquable thèse de philosophie[2] : « L’homme ne meurt pas des défauts ou des manques qu’il projette sur sa vie ; il meurt de […]